Calculer sa vitesse en m/min, puis en km/h. Latvala assure sa victoire lors de la dernière journée, dont le principal enjeu est la seconde place, très disputée entre Evans et Andreas Mikkelsen (VW Polo), qui échoue de quelques secondes. Darniche remporte donc son deuxième succès en Corse, devant un très méritant Nicolas. En l'absence de l'équipe officielle Citroën, vainqueur l'an passé, écrasante domination des Peugeot 206 WRC qui réalisent le triplé. wir haben geliefert. Il faut emprunter des petites routes pour s'en approcher un peu. On assiste à nouveau à une domination écrasante de la Citroën C4 de Loeb, en tête dès le départ et qui emporte 14 des 16 spéciales. Panizzi emporte son premier Tour de Corse, devant un Delecour assez déçu de n'avoir pu défendre ses chances jusqu'au bout. Tout le massif de la Punta Muvrareccia, la presqu'île de Scandola et le golfe de Girolata sont inaccessibles par route[1]. Avec Munari, Darniche et Andruet, les Fiat 131 sont favorites. Les conditions sont beaucoup plus délicates le lendemain, de nombreuses averses locales rendant les choix de pneus très difficiles. Sur sa BMW M3, Béguin, troisième, compte déjà plus de trois minutes de retard. À partir de la Trinité, la D468 permet de s'approcher de Stagnolo, San Cipriano (voir la pointe de Cala Rossa) et Pinarello (voir la tour sur son îlot), avant de rejoindre la RT 40 à Santa-Lucia di Porto-Vecchio par la D168a. Thiry parvient à terminer la spéciale, et conserve alors une avance de 40 secondes, mais le nouveau règlement (très contesté), limitant les zones d'assistance, impose à l'équipage d'effectuer la réparation sans aide extérieure et uniquement avec les pièces de rechange embarquées. La tombée de la brume rendant les routes glissantes aux alentours d'Ajaccio, c'est tout d'abord Nicol qui perd 30 minutes pour avoir heurté un rocher. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour la première fois de son histoire, le Tour de Corse débute par une super-spéciale (2,86 km), emportée par Saby (Lancia), premier leader. Le pilote corse Serpaggi surprend les pilotes officiels en prenant la tête lors de la première épreuve spéciale, mais Nicolas réagit dès la suivante et ne sera plus inquiété jusqu'à l'arrivée. Vous pourrez comparer les tarifs dans la section « Partir en Corse », à la fin de l’article. Bouffier devance alors Kubica de quelques secondes, mais le pilote tchèque prend l'avantage lors de la dernière spéciale du jour et termine la première étape avec près de quatre secondes d'avance sur le Français. Bien que ne disposant de 180 chevaux, Ragnotti se montre également très rapide au volant de sa Renault 11 Turbo, très légère. Darniche, également sur Stratos, prend alors la tête, en bagarre avec la vaillante berlinette de Nicolas, revenue à cinq secondes du leader au cours de la deuxième étape. CONSEILS D'EXPERT : - N’hésitez pas à faire une ou plusieurs haltes entre Ajaccio et Porto-Vecchio : Propriano, Sartène ou encore la plage de Roccapina vous permettront de faire des pauses des plus agréables sur votre route ! Deux embranchements à peine carrossables permettent d'aller (en aller-retour) jeter un coup d'œil sur la côte quasi-désertique, mais néanmoins magnifique : Saleccia et Malfalcu. Nette domination des Peugeot 206 WRC de Delecour et Panizzi, qui dès la deuxième spéciale 'oublient' littéralement leurs adversaires. Obstination du premier, énervement du second ? Se battant jusqu'au bout, Elford perdra même la seconde place au profit de Toivonen à cause d'un tête-à-queue dans le dernier secteur chronométré. En tête de bout en bout, Panizzi enlève son deuxième Tour de Corse devant ses coéquipiers Grönholm et Burns, et la Citroën Xsara WRC de Bugalski, engagée à titre privé. La Monnaie from your home. À court de compétition cette saison, les Alpine A310 (Andruet, Ragnotti, Manzagol) ne peuvent rivaliser contre les Lancia Stratos, emmenées par Munari et Darniche. Le descriptif ci-après part arbitrairement de Bastia pour y revenir, et parcourt la côte dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Le Cap Corse est une étroite langue de terre, longue de 40 kilomètres et large d’au maximum 15 kilomètres, qui s’avance dans la mer au nord de Bastia. Au terme de la première étape, Orsini (Alpine A110) devance Piot (Renault 8 Gordini) de près de 5 minutes. Grönholm mène en début de course, mais avant la fin de la première étape Loeb prend la tête du rallye. Mais cette route s'est éloignée de la mer, et, jusqu'à Alistro, on ne la verra guère, à moins d'emprunter une route latérale en aller-retour (à Migliacciara vers Calzarello, à Ghisonaccia vers Vignale, à Cateraggio vers Padulone). Après une traversée montagneuse (Bocca a Palmarella, 408 m), ce n'est qu'à l'approche d'Osani qu'on aperçoit brièvement le golfe de Girolata. On peut bifurquer vers la tour d'Ancone et la Bocca San Sebastiano, faire un aller-retour vers le golfe de Lava (D381), ou plus loin emprunter la D61 qui rejoint Ajaccio par le nord ; mais il est impossible de contourner par l'ouest la Punta Pozzo di Borgo (779 mètres), qui domine Ajaccio. L'Escort se montre très efficace sur les routes corses, et permet à un Delecour en très grande forme de mener l'épreuve de bout en bout, reléguant Auriol à plus d'une minute malgré des problèmes de moteur dans la seconde étape. Darniche et Thérier (Porsche) sont à la lutte pour la seconde place lorsque éclate un fait de course qui fera couler beaucoup d'encre : dans la quatorzième spéciale, handicapé par des pneus à l'agonie, Darniche est alors rattrapé par la Talbot Lotus de Fréquelin. Il faut emprunter la D81b, qui s'efforce de suivre une côte déchiquetée et sinueuse, et doit pourtant la quitter un long moment au niveau de Luzzipeo, du Capo Cavallo à la baie de Crovani. Bettega et Biasion ne peuvent éviter de toucher, perdant respectivement vingt et cinq minutes. Kopecký réalise un excellent chrono dans la première spéciale de la journée, se rapprochant de Sordo et creusant l'écart sur Campana. On t’emmène sur les routes de Corse entre mer et montagne ! Sainz prend la tête mais les positions restent très serrées : avant la dernière spéciale, il ne compte que 7 secondes d'avance sur Panizzi et McRae, et 13 sur Delecour. Seuls deux embranchements permettent de visiter, en aller-retour, plusieurs sites préhistoriques de l'intérieur : Palaggiu et Cauria. Il termine cette deuxième journée 47 secondes devant Sainz. La route qui fait le tour du Cap Corse est d'environ 125 kilomètres de long, mais cela ne comprend pas les voyages secondaires aux quelques-unes des endroits qui donnent Cap Corse beaucoup de son charme. Leur duel sera magnifique, Andruet prenant l'avantage en début de course avant de connaître un passage à vide en fin de première étape, qu'il achève avec près de deux minutes de retard sur Ragnotti. Pour suivre le bord de mer, il faut prendre à la sortie de Casamozza la D10 vers l'ancienne cathédrale de la Canonica, et suivre ensuite, sur 15 kilomètres, la route du cordon littoral entre la mer et l'étang de Biguglia (réserve naturelle), dernier espace de nature avant la ville. Un eleve parcourt 6 tours en 9 minutes. On a néanmoins des points de vue intéressants sur la pointe et l'île de la Giraglia. Tout se joue dans la dernière journée. Alén prend la tête avec une confortable avance sur son coéquipier Biasion et la Renault 5 Turbo de Ragnotti, et emporte sa deuxième victoire en Corse. Includes route, riders, teams, and coverage of past Tours photo d'archive : Cuntrollu di "A casa rossa" -village de TALASANI - source : photothèque - Laetitia FILIPPI - site : http://www.la-corse.org/giru69b.htm. Nette domination des Ford Focus WRC de Märtin et Duval, constamment en tête lors des deux premières journées. Il se contente alors d'assurer sa deuxième place. Leur objectif ? Très rapides sur le mouillé, les 205 T16 de Vatanen et Nicolas prennent les deux premières places de la course, devant la Lancia 037 d'Alén. dein leben. Neuville contrôle désormais la course, devant la Skoda Fabia de Jan Kopecký. Delecour et Auriol terminent cette deuxième étape à égalité, 19 secondes seulement devant Sainz qui a refait une grosse partie de son retard. Sur ses 40 premiers kilomètres, la nationale peine à suivre la côte, très découpée ; elle ne s'en éloigne jamais de plus de 10 kilomètres, et n'en est séparée que par des collines, mais il faut la quitter pour voir le golfe de Sant'Amanza (par la D58 et la D60), la plage de Rondinara, le golfe de Santa Giulia, ou la plage de Palombaggia, face aux îles Cerbicale, d'où on peut poursuivre par un large tour dans la presqu'île de la Chiappa, avec retour sur la rive sud du golfe de Porto-Vecchio. On peut sur ce tronçon préférer prendre par l'intérieur : de Cervione à Folelli, la « corniche de la Castagniccia » (D71 puis D330) donne des points de vue intéressants sur le large et les îles italiennes. Le pilote français prend alors la tête et termine la première étape à Bastia avec 53 secondes d'avance sur Alén. Le Tour de France a été évoqué, mais c'est finalement le Tour de Corse qui sera la manche française de ce nouveau championnat, ouvert jusqu'en 1981 aux groupes 1 à 4. Delecour reprend une seconde à Sainz avant d'être légèrement retardé par des ennuis d'embrayage. Avantages de faire un tour de Corse en moto Faire un tour de Corse en moto offre de nombreux avantages dont : - Une plus grande liberté dans vos déplacements. À la suite des dernières exigences de la fédération internationale, le parcours de l'épreuve est désormais concentré aux environs d'Ajaccio, où se situe l'unique parc d'assistance. Schwarz repasse rapidement Delecour, avant de sortir de la route dans la dixième spéciale. Pour la course cycliste, voir, La période 1956-1966 : naissance d'une classique, La période 1967-1972 : les belles années du championnat de France, 1973-1981 : les débuts du championnat du monde, 1982-1986 : le Groupe B, les fauves sur l'Île de Beauté, La période 1987-1996 : le Groupe A, 2 roues motrices contre 4, Le retour aux origines pour le WRC : 2015 -, sur www.rallyedefrance.com, consulté le 6 octobre 2009, sous réserve, les comptes-rendus des revues, Le championnat du monde des rallyes 79/80, par Jean-Paul Renvoizé - Éditions SIPE (1980), Rally Yearbook 1999-2000 - Éditions Paragon (2000), sur www.asacc.fr, consulté le 14 novembre 2009, sur www.lequipe.fr, consulté le 15 mai 2011, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Tour_de_Corse&oldid=170555131, Épreuve du championnat du monde des rallyes, Épreuve du championnat d'Europe des rallyes unifié, Épreuve de l'Intercontinental Rally Challenge, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, participants : 43 équipages au départ, 17 équipages à l'arrivée, épreuve comptant pour le championnat de France de Grand Tourisme, participants : 76 équipages au départ, 27 équipages à l'arrivée, participants : 66 équipages au départ, 25 équipages à l'arrivée, participants : 61 équipages au départ, 20 équipages à l'arrivée (dont 13 classés), participants : 64 équipages au départ, 23 équipages à l'arrivée, participants : 72 équipages au départ, 16 équipages classés à l'arrivée, participants : 80 équipages au départ, 23 équipages classés à l'arrivée, participants : 72 équipages au départ, 19 équipages classés à l'arrivée, participants : 79 équipages au départ, 8 équipages classés à l'arrivée, épreuve comptant pour le championnat de France de Tourisme, Grand Tourisme, Sport, participants : 82 équipages au départ, 18 équipages classés à l'arrivée, Charles Santonacci - Jacques Santonacci (, participants : 80 équipages au départ, 29 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : Ajaccio - Bastia et Bastia - Ajaccio, participants : 98 équipages au départ, 14 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : Bastia - Porto-Vecchio et Porto-Vecchio - Bastia, participants : 63 équipages au départ, 15 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : Ajaccio - Corte et Corte - Ajaccio, participants : 71 équipages au départ, 22 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : Bastia - Ajaccio et Ajaccio - Bastia, participants : 56 équipages au départ, 18 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : 1 boucle sud Ajaccio - Porto-Vecchio - Ajaccio, 1 boucle nord Ajaccio - Bastia - Ajaccio, participants : 49 équipages au départ, 30 équipages classés à l'arrivée, participants : 50 équipages au départ, 22 équipages classés à l'arrivée, Jean-Claude Lagniez - Pierre-Antoine Terry (, participants : 102 équipages au départ, 12 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : 1 boucle nord Ajaccio - Bastia - Ajaccio et 1 boucle sud Ajaccio - Ajaccio, participants : 77 équipages au départ, 22 équipages classés à l'arrivée, participants : 87 équipages au départ, 11 équipages classés à l'arrivée, 2 étapes : 1 boucle sud Ajaccio - Porto-Vecchio - Ajaccio et 1 boucle nord Ajaccio - Bastia - Ajaccio, participants : 120 équipages au départ, 34 équipages classés à l'arrivée, participants : 116 équipages au départ, 37 équipages classés à l'arrivée, participants : 112 équipages au départ, 14 équipages classés à l'arrivée, Jean-Charles Martinetti - Philippe Gabrielli (, participants : 122 équipages au départ, 16 équipages classés à l'arrivée, Christian Gardavot - Christian Audibert (, participants : 120 équipages au départ, 42 équipages classés à l'arrivée, Jean-Michel Tichadou - Jean-Paul Pandolfi (, 3 étapes : Ajaccio - Quenza - Bastia, Bastia - Saint-Roch - Ajaccio et Ajaccio - Quenza - Ajaccio, participants : 178 équipages au départ, 48 équipages classés à l'arrivée, Robert Simonetti - Jean-Michel Simonetti (, 3 étapes : Ajaccio - Bastia, Bastia - Ajaccio et Ajaccio - Ajaccio, participants : 178 équipages au départ, 57 équipages classés à l'arrivée, Ange-Paul Franceschi - Patrick Giudicelli (, 3 étapes : Ajaccio - Quenza - Bastia, Bastia - Corte - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 155 équipages au départ, 58 équipages classés à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Bastia, Bastia - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 139 équipages au départ, 45 équipages classés à l'arrivée, Jean-Jacques Paoletti - Claude Santucci (, participants : 122 équipages au départ, 31 équipages classés à l'arrivée, Jean-Claude Torre - Patrick De La Foata (, 3 étapes : Ajaccio - Corte - Bastia, Bastia - Corte - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 95 équipages au départ, 35 équipages classés à l'arrivée, 4 étapes : Ajaccio - Ajaccio, Ajaccio - Zonza - Alba Serena, Alba Serena - Corte - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 93 équipages au départ, 42 équipages classés à l'arrivée, 4 étapes : Ajaccio - Ajaccio, Ajaccio - Corte - Alba Serena, Alba Serena - Corte - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 79 équipages au départ, 39 équipages classés à l'arrivée, 4 étapes : Ajaccio - Ajaccio, Ajaccio - Alba Serena, Alba Serena - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 94 équipages au départ, 48 équipages classés à l'arrivée, 4 étapes : Ajaccio - Ajaccio, Ajaccio - Bastia, Bastia - Calvi et Calvi - Ajaccio, participants : 100 équipages au départ, 43 équipages classés à l'arrivée, participants : 105 équipages au départ, 46 équipages classés à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Ajaccio, Ajaccio - Bastia et Bastia - Ajaccio, participants : 84 équipages au départ, 44 équipages classés à l'arrivée, participants : 84 équipages au départ, 43 équipages classés à l'arrivée, participants : 91 équipages au départ, 44 équipages classés à l'arrivée, participants : 53 équipages au départ, 33 équipages classés à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Propriano - Ajaccio, Ajaccio - Cargèse - Ajaccio et Ajaccio - Quenza - Ajaccio, participants : 60 équipages au départ, 39 équipages classés à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Propriano - Ajaccio, Ajaccio - Corte - Ajaccio et Ajaccio - Propriano - Ajaccio, participants : 80 équipages au départ, 45 équipages classés à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Propriano - Ajaccio, Ajaccio - Corte - Ajaccio et Ajaccio - Campo dell'Oro - Ajaccio, participants : 138 équipages au départ, 85 équipages classés à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Vignetta - Ajaccio, Ajaccio - Corte - Ajaccio et Ajaccio - Vignetta - Ajaccio, participants : 121 équipages au départ, 80 équipages à l'arrivée, participants : 85 équipages au départ, 50 équipages à l'arrivée, participants : 61 équipages au départ, 37 équipages à l'arrivée, participants : 62 équipages au départ, 34 équipages à l'arrivée, participants : 53 équipages au départ, 35 équipages à l'arrivée, participants : 57 équipages au départ, 40 équipages à l'arrivée, participants : 75 équipages au départ, 60 équipages à l'arrivée, participants : 74 équipages au départ, 60 équipages à l'arrivée, participants : 71 équipages au départ, 54 équipages à l'arrivée, Epreuve comptant pour la coupe de France des rallyes, participants : 72 équipages au départ, 38 équipages à l'arrivée, Jean-François Succi - Jean-Noël Vesperini (, Jean-Dominique Mattei - Patrick Scipilliti (, Charles Zuccarelli - Pierre-Antoine Bonifet (, 3 étapes : Calvi - Calvi, Calvi - Ajaccio et Ajaccio - Ajaccio, participants : 48 équipages au départ, 31 équipages à l'arrivée, 3 étapes : Ajaccio - Calvi, Calvi - Bastia et Bastia - Bastia, participants : 45 équipages au départ, 30 équipages à l'arrivée, 2 étapes : Calvi - Ajaccio et Ajaccio - Ajaccio, participants : 51 équipages au départ, 28 équipages à l'arrivée, Onzième et dernière manche du championnat ERC 2014, 2 étapes : Porto-Vecchio - Ajaccio et Ajaccio - Ajaccio, participants : 50 équipages au départ, 36 équipages à l'arrivée, participants : 123 équipages au départ, 96 équipages à l'arrivée.