pesticides et autres substances organiques (� l�exception
ac�tique, aussi appel� MCPA, microcystines et acides
compos�s organiques ont �t� abaiss�es. Tous les
Pour
Objectifs du R�glement sur la qualit� de l�eau potable
substances organiques (voir le tableau 6). ... de lâenvironnement, de la Faune et des parcs du Québec) établit des normes de qualité pour lâeau potable destinée à la consommation humaine.
Depuis la ressource naturelle, en passant par lâusine de potabilisation et le réseau de distribution, jusquâau robinet, le traitement de lâeau et ses contrôles garantissent la qualité. concentration minimale de chloramines est de 1 mg/l � l'entr�e et la chloramination
une efficacit� d��limination des microorganismes conforme aux exigences
qualifications dans tous les cas. protection de la sant� publique par la mise � niveau de 77 normes de qualit�
Normes relatives au traitement
personnes; ces personnes doivent r�aliser des contr�les p�riodiques de
200 000 personnes = 110 �chantillons. Norme tunisienne définissant les caractéristiques physiques, chimiques et micro-biologiques des eaux destinées à la consommation humaine - NT 09.14 - 1983. chloramin�e, � chaque pr�l�vement aux fins d�analyses
La présence de micro-organismes (bactéries, virus et parasites) dans les eaux de consommation est le plus souvent due à une dégradation de la qualité de la ressource en eau, à une mauvaise protection ou un manque dâentretien des ouvrages de captages, à une défaillance du traitement de désinfection ou à une contamination de lâeau lors de son transport ou stockage dans le réseau. Contr�le bact�riologique
La dureté. - Le volume de l�eau dans le r�servoir, V�rification du respect de la norme
ne sont plus vis�s par un contr�le obligatoire. Client�le vis�e, 2.1
Ce contr�le se fait �
traitement peut �tre remplac� par un �chantillonnage quotidien durant cinq
qualification des op�rateurs et assurer un renouvellement p�riodique des
S�il s�agit d�installations desservant une population de 500 personnes ou
l�eau potable ne sont obligatoires que pour les responsables de syst�mes de
haloac�tiques). chaque pr�l�vement d�eau r�alis� aux fins du contr�le bact�riologique. Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences
approvisionn�es en eau de surface et desservant plus de 5 000 personnes
sant� publique �tabliront le cas �ch�ant avec le responsable du syst�me de
� ce contr�le, Nitrates + nitrites (un contr�le
registre le d�bit de l�eau, la plus faible teneur en d�sinfectant r�siduel
d�eau et qui sont susceptibles d�affecter le pr�l�vement ou
Boire de lâeau du robinet est un geste simple et accessible à tous mais cette eau doit satisfaire lâensemble des exigences sanitaires. Le Règlement sur la qualité de lâeau potable assure aux Québécoises et aux Québécois une eau potable de qualité. Un exemple de
toutes ces donn�es doivent �tre inscrites dans un registre dans lequel
source souterraine sous l�influence directe de l�eau de surface; rend obligatoire la d�sinfection des eaux souterraines contamin�es par
aliment�s par un tiers assujetti � ce contr�le, 15 substances inorganiques
responsables d�installations de traitement ne devront employer que des
possible avec un nombre �gal d��chantillons par semaine, dans des
l�extr�mit� du r�seau, 41 substances
Nos équipes et nos exploitants assurent une surveillance permanente de la qualité de l'eau tout au long de son parcours, à l'usine sur les réseaux et aux châteaux d'eau. fonctionnement d�un syst�me de distribution. exempt�s des contr�les aux robinets de la citerne en raison des probl�mes de
Cette concentration de chlore doit �tre
de chlore, Tous les syst�mes d�eau trait�e � l�ozone, D�sinfection
Tableau 3 - Contr�le de la d�sinfection pour les installations de traitement municipales et non municipales desservant plus de 500 personnes, Type de traitement de d�sinfection d�un syst�me de
bact�riologique doit �tre effectu� selon la fr�quence indiqu�e dans le
substances organiques sont vis�es par des normes. 20 000 personnes doivent �tre munies d�un. Aucun de ces
De préférence, demandez qu’elle soit décapsulée devant vous. assurant les pourcentages d��limination pr�cit�s. compl�mentaires sur place de pH ou de chlore r�siduel. Il est �galement important de noter qu�� partir du 8 mars 2017, les
Ainsi, les exigences suivantes s�appliquent en mati�re de contr�le de la
conserv�e, puis transmise � un laboratoire accr�dit�. prescrites par les articles 5, 5.1, 6, 8, 9, 9.1 et 22 du pr�sent
suppl�mentaires sont applicables aux contr�les bact�riologiques : Le contr�le physico-chimique consiste � mesurer, dans le r�seau de
distribution touch� les mesures appropri�es � diffuser aux usagers. D�veloppement durable, de l�Environnement et de la Lutte contre les
appliqu�. Normes physico-chimiques
l�eau potable, sauf pour les �tablissements touristiques saisonniers
munies d��quipements de mesure en continu et de syst�mes d�alarme. 1.3
d�analyse et la garder � la disposition du ministre. Il ne faudrait pas en conclure que tout dépassement comporte un risque pour lâutilisateur puisque la norme est fixée par rapport à un risque à long terme et en intégrant une marge dâincertitude importante. lorsque l�eau distribu�e est chloramin�e, le chlore
Que vous soyez à lâhôtel, au restaurant ou au café, lâeau qui vous sera servie en bouteille est de lâeau minérale. les installations de traitement desservant plus de
bact�riologiques, Par mois, au centre et � l�extr�mit� du
1.1
chlorates, acide [4-chloro-2-m�thylph�noxy] ac�tique, aussi appel� MCPA,
minimum de 7 jours entre les �chantillons, Par mois, en raison de 2
|
Le contr�le de la qualit� de l�eau potable de quelque 30 000 entreprises
risque du r�seau, Tous les syst�mes aliment�s par une eau de surface, R�seaux municipaux et priv�s dont l�eau est chlor�e, 4 � 32, selon la population
r�aliser sur place le contr�le de la concentration de d�sinfectant dans
L�eau pr�lev�e doit
Le R�glement sur la qualit� de l�eau potable (RQEP) vise � am�liorer la
Des analyses suppl�mentaires sont requises durant toute la p�riode
... Consommation tunisienne dâeau minérale. conformit� aux exigences de qualification des op�rateurs de syst�mes non
â La norme tunisienne NT 09.14 (1983) qui définit les caractéristiques physiques, chimiques et micro biologiques des eaux destinées à la consommation humaine. d��limination des virus, Giardia et Cryptosporidium exig�s en fonction
souterraine n�appliquant aucune d�sinfection doivent
Le service de lâeau potable en Tunisie se distingue par ses bonnes performances, officiellement attribuées à une gestion publique centralisée et à la politique sociale menée dans le secteur depuis plus de quarante ans. touristique et institutionnelle desservant plus de 20 personnes. r�aliser un suivi mensuel des concentrations de
r�siduel, V�rification de la teneur en chlore
r�seau afin de permettre � ce dernier d�assurer l�entretien de
CHAMP D'APPLICATION La présente Norme s'applique à tous les produits tels que définis à la Section 2.1 ci-après. indicateurs d�une contamination f�cale, tels les bact�ries coliformes
le. �chantillons ne doit d�passer 1 UTN. L�eau doit �tre exempte d�organismes pathog�nes et d�organismes
l�eau avant que celle-ci entre dans le syst�me de distribution. Depuis cette m�me date, 9 pesticides
Cette dernière sâest appuyée essentiellement sur une double péréquation : territoriale et entre niveaux de consommation. Le R�glement sp�cifie que toute eau destin�e � la consommation humaine (y
Le contr�le
pourcentage d�enl�vement des parasites et des virus. r�aliser un suivi mensuel de diff�rents indicateurs de
param�tres. 99,9 % des kystes de Giardia et 99,9 % des oocystes de
formulaire de demande d�analyse transmis au laboratoire. Les v�hicules-citernes distribuant de l�eau potable dans les territoires
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travail (CSST). distribution, - La turbidit� (mesur�e apr�s chaque filtre de l�eau de
Il y a la norme NT08.83 datant de 2007 qui est la norme générale pour les eaux potables en bouteilles conditionnées dédiées aux eaux de sources naturelles et eaux de table. humaine ad�quate. Abonnez-vous à notre newsletter pour obtenir le dernier scoop droit à votre boîte de réception. v�hicules-citernes qui desservent plus de 20 personnes � respecter les
endroits repr�sentatifs du r�seau dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau, R�seau de plus de 5 000 personnes non aliment� par un
qualit�. Les installations de traitement doivent �tre �quip�es d�un syst�me d�alarme
de chlore doivent r�aliser l�analyse trimestrielle des
oxydation ou une d�sinfection au chlore n�atteignant pas
effectuer des contr�les p�riodiques de l�eau distribu�e qu�ils mettent � la
chlore, le chlore r�siduel libre doit �tre sup�rieur ou �gal � 0,3 mg/l
Les
demande d�analyse transmis au laboratoire accr�dit�. Ainsi, les responsables sont tenus de v�rifier
3.2
tiers assujetti � ce contr�le, Par an, �
2.2
Il est permis de respecter les exigences de traitement en installant
Le potentiel mobilisable est estimé à 4,6 milliards / m3, les ressources régularisables sâélèvent à 4,1 milliards / m3 et le taux actuel de mobilisation est de 74 %. applicables. d�un plan de localisation de tous les points de pr�l�vement utilis�s sur le
bact�ries. municipalit� constate un d�passement de norme dans l�eau distribu�e par un
contamination f�cale si leurs syst�mes sont consid�r�s comme
surface)
ceux d�institutions, d�entreprises touristiques et de v�hicules-citernes. Notez que vous ne recevrez aucune réponse. r�siduel libre et le chlore r�siduel total doivent tous deux
Tableau 2 - Fr�quence d��chantillonnage pour le contr�le
de l�eau potable. le traitement de l�eau. Pour les r�seaux de moins de 5 000 personnes, aucun contr�le des
NORME GÉNÉRALE CODEX POUR LES JUS ET LES NECTARS DE FRUITS (CODEX STAN 247-2005) 1. Normes bact�riologiques
place. tableaux 5 et 6, font l�objet d�exigences
Cryptosporidium. norme tunisienne NT 106.02 (1989) protection de l'environnement, Vu l ... A- Usager consommant un volume d'eau potable ne dépassant pas 20 m3 par trimestre : 1,310DT au titre d'une redevance fixe par trimestre et par logement plus 17 millimes par m3 d'eau consommé.
Contr�le de la d�sinfection
Normes de l'OMS sur l'eau potable Les lignes directrices de l'OMS en ce qui concerne la qualité de l'eau potable, mises à jour en 2006 sont la référence en ce qui concerne la sécutité en matière d'eau potable. figurent la date, les r�sultats des mesures prescrites et le nom des
Compte tenu des adaptations n�cessaires, les eaux de
potable d�sinfect�e � plus d�un b�timent doit �tre muni d�un �quipement
moins, d'une population au nord du 55e parall�le, d�une institution ou d�un
1 000 personnes doivent r�aliser des contr�les p�riodiques
Acc�s � l'information
sortie de chaque filtre pr�c�d� d�une coagulation. s�assurer que les traitements �liminent au moins 99,99 % des virus,
Abonnement |, Objectifs du R�glement sur la qualit� de l�eau potable, Sp�cifications pour les v�hicules-citernes, exigences de qualification des op�rateurs, Par mois dans des endroits
Toute la Tunisie est quasiment équipée dâeau potable, à part quelques exceptions rarissimes situées dans des zones rurales éloignées des zones touristiques. Les responsables de tous les syst�mes mentionn�s � la section 1.3 doivent
Le
En cas d�urgence, tout syst�me de distribution qui d�livre de l�eau
La présente Norme internationale spécifie une méthode de mesurage de la conductivité électrique de tous types d'eau. robinets des pictogrammes indiquant que l�eau est non potable sous
Elle représente la quantité de calcaire présent dans une eau. l�efficacit� minimale d��limination de 99,99 % des virus, ou
Si le responsable du
tel r�seau, mettre en place les mesures appropri�es pour prot�ger les
3.2
Vingt et une substances inorganiques et 49 substances
r�serve d�en v�rifier la salubrit� � des fins d�hygi�ne. disposition du ministre du D�veloppement durable, de l�Environnement et de
d�nombrement de l�indicateur, les responsables d�installations de traitement
r�sidence, Par an, dans des lieux �
colonne dâeau sous la glace.....57 6.2.4 protocole dâÉchantillonnage de la colonne dâeau en profondeur dans les lacs et les cours dâeau .....60 6.2.5 protocole dâÉchantillonnage depuis la rive 64 d�installations non municipales, l��ch�ance est fix�e au 28 juin 2012. de la qualit� microbiologique de leur eau brute � partir du
pr�lev�s aux extr�mit�s du syst�me de distribution. Les responsables d�installations de traitement
L�ensemble des Qu�b�cois et des Qu�b�coises, qu�ils soient � la maison, au
compris celle des puits individuels) doit respecter les normes de qualit� de
Le 8 mars 2012, les normes correspondant � un param�tre
La politique de l'eau potable et de l'assainissement en Tunisie a permis au pays d'atteindre le plus haut taux d'accès à l'approvisionnement et à l'assainissement de l'eau parmi les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, grâce à sa politique en matière d'infrastructures. En effet, l es eaux trop riches en sels de calcium et en magnésium sont dites dures. �chantillons doivent �tre exempts de bact�ries coliformes totales. satisfaire � ces derni�res pour tous les syst�mes de distribution d�eau
Ces substances ne peuvent d�passer
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La politique de l'eau potable et de l'assainissement en Tunisie a permis au pays d'atteindre le plus haut taux d'accès à l'approvisionnement et à l'assainissement de l'eau parmi les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, grâce à sa politique en matière d'infrastructures. obligatoire; les r�seaux dont les r�sultats ant�rieurs d�analyses des
l�installation de traitement principale. le contr�le bact�riologique, Calculer de la m�me fa�on que de 8 001 � 100 000, mais
devront �galement avoir une attestation d�un professionnel reconnu selon
Les normes physico-chimiques à respecter sont les suivantes: lâeau doit avoir un pH situé entre 6.5 et 9; son taux de magnésium doit être inférieur à 50mg/l; son taux de chlore doit être inférieur à 200mg/l; son taux de sodium doit être inférieur à 150mg/l; son taux dâaluminium doit être inférieur à 0.2mg/l (THM) pour les r�seaux d�eau chlor�e. Le contr�le bact�riologique consiste � contr�ler les bact�ries coliformes
A Mejel Bel Abbès, 8,64% des ménages doit parcourir plus dâun kilomètre dâune source dâeau potable (soit 387 familles). Les contr�les de qualit� de
surface et ne disposant pas des �quipements de traitement
consommation humaine doit �tre con�ue ou adapt�e pour le transport d�eau
�tre �gale ou sup�rieure � 0,2 mg/l. rapports trimestriels
affichant des pictogrammes � eau non potable �. si l�eau provient en tout ou en partie d�une eau de surface ou d�une
dâeau de surface. On estime que la concentration en sels dans les eaux usées domestiques excède à celle de lâeau potable de 200 à 300 mg/l. Ces contr�les peuvent notamment permettre d��valuer la n�cessit�
La teneur en chlore r�siduel libre doit
2. changements climatiques pendant au moins cinq
phosphore entre les mois de mai et octobre de chaque ann�e; r�aliser un suivi de la turbidit� � l�eau brute � l�aide
r�seau n�est pas le propri�taire du b�timent, un droit d�acc�s �crit
exception est cependant pr�vue pour les produits chimiques fabriqu�s sur
4.2 La source ou le point dâémergence doit être protégé contre les risques de pollution. Par ailleurs,
organiques font l�objet de normes de qualit�. �tablissement touristique, le suivi en continu � l�installation de
Ils doivent faire analyser les �chantillons pr�lev�s � cette fin
donn�es seront requis pour �tablir les niveaux suppl�mentaires
Le pr�leveur doit
Contr�le physico-chimique
d'eau potable La commune de QUILLAN dont le siège est situé à l'Hôtel de Ville, a pour rôle d'organiser le service, de contrôler sa bonne exécution et de décìder des ouvrages et équipements à réaliser. approvisionn�es en eau souterraine et appliquant une
physico-chimique. disposition des utilisateurs, et ce, pour diff�rentes cat�gories de
caract�ristiques de chacun des points. La Tunisie est lâun des pays de la Méditerranée les moins pourvus en ressources hydrauliques. La consommation dâeau en bouteille en Tunisie augmente chaque année de 7%. des THM) montrent que les concentrations de tous les
substances organiques n�est obligatoire, autre que celui des trihalom�thanes
distribution desservant plus de 20 personnes, ce qui inclut les r�seaux
... avec de l'eau potable répondant aux critères énoncés à la Section 3.1.1(c). Avez-vous un commentaire à nous transmettre ou un problème à signaler ?Évitez
laquelle leurs installations de traitement satisfont aux exigences
Lorsque l�eau est
(chlorites, chlorates, acide [4-chloro-2-m�thylph�noxy]
Politique de confidentialit�
traitement municipales, non municipales � client�le r�sidentielle,
Evolution des volumes dâeau et des rendements de la SONEDE Tableau 6. microorganismes d�origine f�cale, il faut s�assurer que les traitements
repr�sentatifs du r�seau dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau avec un
Ce registre doit �tre conserv�
Nous lâavons vu, les normes de qualité de lâeau potable sont très rigoureuses. Pénurie dâeau ou indisponibilité de lâeau à boire ? Il est important de noter qu�au moins 50 % des �chantillons doivent �tre
desservie, Tous les syst�mes
bact�riologique et virologique, des sources de contamination
|
f�cales, les bact�ries. les responsables de syst�mes approvisionn�s en eau
exigences de contr�le. � chaque p�riode de 30 jours cons�cutifs, au moins 90 % des
La qualité de lâeau potable est encadrée par la Directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 et le décret 2001-1220, qui fixe les limites et références de qualité pour lâeau potable. les fr�quences de pr�l�vement applicables au. En ce qui concerne les eaux souterraines contamin�es par des
temps les traitements requis, le cas �ch�ant, afin de garantir sa
changements climatiques et la direction de
Les responsables
� la sortie du traitement et la d�sinfection doit permettre d�atteindre
D�veloppement durable, de l�Environnement et de la Lutte contre les
- Le d�bit de l�eau
r�vis�es au minimum tous les cinq ans. A in BW, lâeau que nous fournissons répond à des normes de qualité strictes selon 3 types de paramètres : les paramètres microbiologiques, les paramètres physico-chimiques et les paramètres de confort. situ�s au nord du 55e parall�le sont
un r�seau municipal n�ont plus � satisfaire les exigences pr�vues. param�tres sont syst�matiquement inf�rieures � 20 % de la
Les 19 substances
r�guli�rement la qualit� de l�eau distribu�e et d�appliquer en tout
de turbidit� � la sortie des filtres, V�rification de l�efficacit� de la d�sinfection par rapport au
: 110 000 personnes = 101 �chantillons
sur la qualit� de l�eau brute et sur le fonctionnement du traitement en
d��limination des virus requis. commerciales et industrielles, autres que touristiques et non desservies
Sommaire du R�glement
eau de gâchage pour bétons - spécifications d'échantillonnage, d'essais et d'évaluation de l'aptitude à l'emploi, y compris les eaux des processus de l'industrie du béton, telle que l'eau de gâchage pour béton �tablit les normes de qualit� de l�eau potable et l�obligation de
de contr�le. du degr� de contamination de l�eau brute. Eau potable en Tunisie. en continu par le chlore, - Inscription de la plus faible teneur en d�sinfectant
organiques autres que les trihalom�thanes(THM), Tous les syst�mes * non
� respecter les exigences de traitement peuvent afficher � leurs
Accès. traitement approvisionn�es en eau de surface desservant plus de 1 000
Ce contr�le sert �
Que vous soyez à l’hôtel, au restaurant ou au café, l’eau qui vous sera servie en bouteille est de l’eau minérale. dont l�efficacit� n�a pas �t� le sujet d�un avis d�un
attester sur ce formulaire que l�eau a �t� convenablement pr�lev�e,
microorganismes conforme aux exigences applicables. jours, pour chaque p�riode de quatre heures, il doit inscrire dans un
doit �tre �tabli entre le propri�taire du b�timent et le responsable du
eau de surface et desservant plus de 500 personnes : Le R�glement pr�voit des normes qui assurent une eau de consommation
gel. Ce document pr�sente un r�sum� du R�glement sur la qualit� de l�eau
La société Lyonnaise des Eaux France gère le service dans le cadre des les syst�mes qui distribuent de l�eau trait�e au bioxyde
responsables de ces r�seaux non municipaux devront cependant, si la
�galement �tre exempte en tout temps de bact�ries coliformes f�cales ou
2.3
�tablissant que les �quipements permettent d�atteindre le niveau
3. Selon le programme commun de surveillance de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Unicef, 93 % de la population tunisienne a accès à une source améliorée d'eau potable et 85 % à un assainissement adéquat en 2004 [1].Entre 1990 et 2004, l'accès à l'eau a augmenté de 81 % à 93 %, tandis que l'accès à l'assainissement a augmenté de 75 % à 85 % [1].